Un roman que je n’ai pas aimé mais qui est très bon !
Non seulement ces deux affirmations ne sont pas incompatibles mais la lecture de ce texte m’a ouvert une réflexion inattendue sur ce que je n’aimais pas lire.
Non seulement ces deux affirmations ne sont pas incompatibles mais la lecture de ce texte m’a ouvert une réflexion inattendue sur ce que je n’aimais pas lire.
Tombée par hasard dans la librairie d’à côté de chez moi sur Les enfants verts, nouvelle fantastique commandée à l’auteur par les excellentes éditions de la contre-allée, j’ai d’abord jeté un œil distrait puis j’ai continué ma lecture jusqu’au bout sans m’arrêter. Une écriture ample à la croisée de Maupassant et de Tolstoï, des thèmes qui grattent agréablement là où ça démange et que n’aurait pas dédaignés Theodore Sturgeon, des images qui persistent sur la rétine, bref, alléchée, j’ai eu…
J’ai toujours eu un faible pour les essais en bandes dessinées même si je suis souvent déçue (ma pire déception ayant été Le déploiement, une thèse sous forme de roman graphique qui n’a pas tenu ses promesses, mais passons). L’esprit critique d’Isabelle Bauthian et Gally est, lui, une belle réussite. Ce dessin à la croisée de la ligne claire et du manga est vif, jamais invasif, agit en bonne intelligence avec le texte. Une BD qui ne manque pas d’esprit…
Watership Down de Richard Adams, publié aux éditions Monsieur Toussaint Louverture. Il y avait longtemps que je n’avais pas éprouvé autant de plaisir à lire un roman. Cette sensation de rentrer dans une histoire qui nous mène par le bout du nez, je l’avais perdue, à force de voir les plans derrière les plans, de déceler les techniques sous les mots, elle s’était envolée. La voilà de retour ! Et je voudrais remercie Fanny Decitre qui l’a présenté dans Les Voix…
Merci Orson Scott Card ! Depuis un an et onze mois, je travaille sur un roman noir et j’en bave. Rédiger les fondations ? No problemo. Les personnages, les points de vue, les univers, le synopsis, les retournements, nickel. Et puis est venu le moment de la rédaction. J’avais tout prévu sauf… que ça ne marchait pas. La présence de tous les ingrédients ne suffisait pas à faire prendre la mayonnaise. Pourquoi ? Oh, un détail microscopique : le point de vue ! Un…
On trouve des dizaines, de manuels de tous poils pour rédiger un roman, en revanche, dès qu’on aborde la question du style, soudain, il reste moins de monde pour en parler. Pourquoi ? Parce que le style reflète une personnalité, une perception du monde et… une vision du lecteur ! Donc un manuel ne peut que nous mettre face à nous-même et à nos valeurs, à ce que nous voulons transmettre au lecteur. L’auteur ne peut-il donc pas travailler son…
Le conseil de Margaret Atwood Conseil de Margaret Atwood : « s’inspirer de mythes et d’histoires bien connues ». Dans l’une de ses masterclass, elle insiste sur le caractère indispensable de cette connaissance pour y puiser des idées autant que pour la subvertir. -Ne vaudrait-il pas mieux faire preuve d’originalité ? demandera l’auteur plein d’idées autant que d’enthousiasme. Mais comment être original sans savoir ce qui s’est fait ? L’ignorer, c’est se condamner à réécrire les mêmes histoires que nos prédécesseurs. Alors de quelle originalité…
Jeudi dernier, j’ai lu un extrait de ma nouvelle « Des bananes pour Nadia » devant un parterre très attentif et surtout très participatif (il y a même eu des rires à certains passages, ça fait plaisir).Le cadre était superbe : la péniche « Grande fantaisie » sur le quai de l’Oise ! Je remercie d’ailleurs très chaleureusement la revue « rue saint Ambroise » et son directeur Bernardo Toro pour cette très belle soirée de lancement du n° 45.Lire des textes en public sur scène…
Je vous propose de lire gratuitement ma nouvelle dystopique « Yvonne »! Pour cela, il vous suffit de suivre ce lien et de vous inscrire à ma lettre d’information. En quelques clics, vous aurez accès à la page « Bonus » de ce site pour la télécharger. Ou cliquez ici : http://eepurl.com/hcyMIX Bonne lecture !
Lecture dominicale : Tchékhov. Mais pas ses pièces, ses nouvelles ! Dans une édition de textes choisis publiée par les éditions de la rue Saint Ambroise. On y trouve les classiques « La dame au petit chien » ou encore « l’homme à l’étui » dans des traductions qui rendent justice au texte :une langue qui n’accroche pas et ne laisse pas transparaître le russe.Un plaisir donc, de retrouver des textes connus et d’en découvrir d’autres.Le regard aigu de Tchékhov sur la condition humaine, ses…