Merci à tous les participants du café littéraire de Nancy !
Ça s’est passé dans un caveau…
Sous la taverne de l’irlandais, à Nancy, se trouve un vaste caveau. Si, si ! Mais en version conviviale et chaleureuse. C’est là qu’ont pu s’installer tous les lecteurs intéressés par le prix La cour de l’imaginaire 2019, Les maîtres de la lumière.
Un café gourmand avait été servi avec tartes et mignardises : il faut nourrir le corps aussi bien que l’esprit !
Deux heures d’échanges qui ont filé à toute vitesse
Devant tout ce petit monde intéressé, j’avais la chance d’être bien entourée : à ma droite, Emmanuel Millet, éditeur et fondateur des éditions Rroyzz, et à ma gauche, l’écrivain et critique Pierre Stolze, qui publie notamment des chroniques dans le magazine de Science-fiction Galaxies. Sur la photo, on aperçoit aussi le quatrième membre du groupe : sur le kakémono, le colosse dessiné par Michel Borderie, illustrateur spécialisé dans les littératures de l’imaginaire.
Deux des membres du jury du prix, Josette Iss et Raymond Iss, étaient aussi présents mais ont préféré rester dans l’ombre. C’est-à-dire là où tout se passe… Et j’ai eu le grand plaisir de rencontrer la lauréate du prix La cour de l’imaginaire 2018, Gabrielle Dubasqui, auteur remarquée de An mil, année du dragon.
Bref, tout le monde était là, et c’était un vrai plaisir d’échanger avec l’interviewer, Pierre Stolze, et ensuite avec les lecteurs.
Il va falloir que je revienne !
Et du coup, je n’ai même pas eu le temps de visiter la belle ville de Nancy. Je n’ai fait qu’apercevoir la cathédrale, le café Excelsior et les bancs lumineux en forme de vagues de la place de la gare. Alors il faudra que j’y retourne !